IHM Pau

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/06/2013

Prix du citoyen européen pour Elke Premauer, Château d'Orion

L'Institut Heinrich Mann félicite Elke Jeanrond-Premauer qui a gagné au nom de toute l’équipe du château d'Orion le Le Prix du citoyen européen 2013. 

elke_premauer.png
"Merci à tous nos partenaires, amies et soutiens ! Etre lauréate du Prix du citoyen européen signifie pour moi recevoir un honneur très particulier. J’ai à coeur la vision d’une Europe aux cultures et traditions très diverses qui se marient de manière transnationale, de vallée à vallée, tissant des liens entre les Hommes. Mon objectif premier est de suivre l’idée de base du grand architecte de l’Europe Jean Monnet, la « supranationalité », ce qui signifie réunir les Hommes.

Il est important aussi pour moi de dire qu’on ne gagne pas un prix seule, c’est un honneur pour tous ceux qui s’engagent dans la création de modèles exemplaires et la culture d’une âme européenne. C’est l’engagement de chaque citoyen qui nous encourage et nous porte profondément.

« Il n’y a que celui qui est en chemin et qui l’explore qui peut parler de la magie de l’Europe. », dit justement le Professeur Schlögel, Université Viadrina.

Elke Jeanrond-Premauer

Artikel auf deutsch
Interview mit Elke Jeanrond-Premauer

21/01/2013

La relation franco-allemande ...

... reste sans équivalent, malgré les divergences

par Frédéric Lemaître et Arnaud Leparmentier

hollande_merkel.jpg

Le président de la République, le premier ministre, au moins quinze ministres, environ 470 parlementaires... Jamais dans l'histoire autant de dirigeants politiques français n'auront été présents dans la capitale allemande. A l'heure où l'on dit que la relation entre les deux pays n'est plus ce qu'elle était, la commémoration des cinquante ans du traité de l'Elysée, mardi 22 janvier, à Berlin, doit prouver le contraire. De fait, cette relation reste sans équivalent. Le débat au Bundestag, le 16 janvier, l'a montré. Contrairement aux habitudes, la plupart des intervenants, qu'ils soient de Die Linke ou de la CSU et quel que soit leur âge, ont consacré une partie de leurs discours aux liens qu'ils entretenaient personnellement avec la France. Même Angela Merkel a semblé émue lorsque, le 5 octobre 2012, devant les jeunes de la CDU réunis à Rostock, elle a évoqué le discours  prononcé "en allemand" à Ludwigsburg par le général de Gaulle en septembre 1962. Lire la suite sur lemonde.fr