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28/01/2013

Interview avec Jacques Attali : "Für ein neues Europa"

Fünfzig Jahre nach Unterzeichnung des Elysée-Vertrags hakt es zwischen Deutschland und Frankreich. Ein Gespräch mit dem einstigen Präsidentenberater Jacques Attali.

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Interview in der FAZ

Lire l'interview en français, par Olivier Guez

21/01/2013

La relation franco-allemande ...

... reste sans équivalent, malgré les divergences

par Frédéric Lemaître et Arnaud Leparmentier

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Le président de la République, le premier ministre, au moins quinze ministres, environ 470 parlementaires... Jamais dans l'histoire autant de dirigeants politiques français n'auront été présents dans la capitale allemande. A l'heure où l'on dit que la relation entre les deux pays n'est plus ce qu'elle était, la commémoration des cinquante ans du traité de l'Elysée, mardi 22 janvier, à Berlin, doit prouver le contraire. De fait, cette relation reste sans équivalent. Le débat au Bundestag, le 16 janvier, l'a montré. Contrairement aux habitudes, la plupart des intervenants, qu'ils soient de Die Linke ou de la CSU et quel que soit leur âge, ont consacré une partie de leurs discours aux liens qu'ils entretenaient personnellement avec la France. Même Angela Merkel a semblé émue lorsque, le 5 octobre 2012, devant les jeunes de la CDU réunis à Rostock, elle a évoqué le discours  prononcé "en allemand" à Ludwigsburg par le général de Gaulle en septembre 1962. Lire la suite sur lemonde.fr

20/11/2012

La fondation Bertelsmann présente "sa" notation de la France

Hasard du calendrier, douze heures après l'annonce de la dégradation de la France par l'agence Moody's, la fondation Bertelsmann présentait, à Berlin, mardi 20 novembre, "sa" notation de la France. Cette fondation privée, considérée comme la plus influente du pays, avait dévoilé son projet en avril en marge de l'Assemblée générale du Fonds monétaire international à New York.

fondation bertelsmann.jpgPour répondre aux critiques visant les agences de notation – un oligopole dont les membres ne sont pas indépendants et se contentent de données macro-économiques — Bertelsmann souhaite créer une fondation indépendante dont les indicateurs seraient à la fois macroéconomiques mais aussi prospectifs. Pour ce faire, Bertelsmann estime avoir besoin d'un capital de départ d'environ 310 millions d'euros (400 millions de dollars) qu'elle aimerait recueillir auprès des membres du G20 et des grandes institutions internationales.
 
A quoi ressembleraient ces notations ? La fondation a présenté mardi cinq pays-pilotes : l'Allemagne, le Brésil, la France, l'Italie et le Japon. Chacun a été jugé selon treize critères (eux-mêmes résultant de l'agrégat de sous-critères) : cinq critères macro-économiques et huit prospectifs. Lire la suite sur lemonde.fr